Élections législatives : non à l’extrême gauche antirépublicaine

Mardi 2 juillet 2024

 

La municipalité dijonnaise a fait son choix, celui de l’alliance avec l’extrême gauche pour les élections législatives.

Le maire de Dijon a demandé aux candidats de la majorité présidentielle qu’il soutenait dans la deuxième et la troisième circonscription de se désister au profit des candidats du Nouveau Front populaire. Certains électeurs doivent se sentir floués.

Dans la première circonscription, il soutient simultanément le candidat de la majorité présidentielle et la candidate du Nouveau Front populaire. Ce qui rend son soutien embarrassant pour le premier.

Sa première adjointe, élue Nupes et maintenant Nouveau Front populaire, fait campagne pour les candidats du Nouveau Front populaire dans les trois circonscriptions dijonnaises.

La municipalité dijonnaise fait donc clairement le choix d’une alliance avec l’extrême gauche, celle de LFI, de Jean-Luc Mélenchon et du NPA. Une extrême gauche communautariste, immigrationniste, islamiste, antisémite, anti-police, violente, subversive et confiscatoire.

Dans le nouveau paysage politique français, l’extrémisme n’est plus à droite, il est à gauche.

Cette tendance est déjà représentée par M. Hamid El Hassouni dans la majorité municipale, et se trouverait renforcée.

Cette dérive politique est dangereuse pour Dijon et les Dijonnais, mais aussi pour les habitants de la métropole. Elle va aggraver les désordres déjà présents à Dijon et menace la laïcité.

C’est pourquoi, au second tour des élections législatives, nous appelons à faire barrage aux candidats de cette extrême gauche antirépublicaine et délétère pour notre Cité, sa sécurité et sa cohésion.

Communiqué validé le soir du 1er juillet 2024 par le conseil d’administration d’Agir pour Dijon